Big Up To You My Man Raymond...

Je n'aime pas être chez moi.
A tel point que lorsque je vais chez quelqu'un et qu'il me dit :
"Vous êtes ici chez vous", je rentre chez moi !    
Raymond Devos in « Je roule pour vous ».

Rest In Peace, Love You... K.

Comments

[Mister k]

encore un exemple de la force du "non-sens" qui prend toute sa dimension avec lui. Son humour était si particulier qu'un anglo-saxon peut rire de ses sketches aux côtés d'un français. L'hummour n'est pas toujours internationnal, mais quand il l'est c'est la preuve d'un humour basé sur l'humain. >Artway

[Mister k]

Quelle chance d'avoir pu le voir sur scène, jamais eu cette occasion, ya, très grand clown, j'ai l'ai toujours vu à la télé. J'imagine que pour toi qui l'a vu petit tu peux à juste titre savoir à quel point il est génial puisque même bien après tu le considères toujours. C'est la marque des vraies gens ça je suppose. ++ et bonne chance pour la ligue des plus mauvais dessinateurs ;-) >Gwen

[artway]

"si un jour ma femme doit etre veuve, je préfére que ce soit de mon vivant"
bye Raymond...

[Gwen]

Moi aussi, je suis triste de la disparition de ce grand monsieur. Quand j'étais petit je me souviens être aller le voir en spectacle.
Un grand moment...
Ce monsieur qui jouait si bien avec les mots jouait sur scène du bandonéon, du violon et de la scie musicale.
Un très grand clown

[Mister k]

yep, comme tu dis... Un grand monsieur. Son humour vacille entre "non-sens" et le jeu de mots avec le sens et les sons des mots. Un slameur avant l'heure dans la catégorie « upbeat-poetry », poésie à contretemps mais dans le tempo de nos humeurs. Il savait comment toucher le cœur et faire bouger les zygomatiques en simultané. C’est de la vraie musique que les sketches de Monsieur Devos. Et celui que tu a mis sur ton blog en est un exemple parfait. Grand respect. A star is gone mais sa trace éclaire toujours nos regards. >Madison